Retiers, ville dynamique et attractive

Retiers est une ville à la campagne ! à moins de 30 minutes de Rennes sur l’axe routier Rennes-Angers et accessible en train, Retiers rayonne au cœur de Roche aux Fées communauté et compte plus de 4632 habitants. Pole économique, équipements de qualité, services et commerces de proximité, dynamisme associatif et culturel, espaces de nature et patrimoine mis en valeur, engagement en faveur de la transition énergétique sont autant d’atouts essentiels pour y vivre et entreprendre !

Retiers, petite ville de demain... aujourd'hui

 

> Pôle économique

 

Retiers, terre de lait, est le berceau de l’entreprise Bridel, qui installe une fromagerie en 1922 ! Aujourd’hui, c’est un pôle important du premier groupe laitier mondial Lactalis qui emploie près de 800 salariés, dont un centre de recherche et développement. Savoir-faire et compétences sont les richesses du tissu économique restérien !

En savoir  

 

> Centre ville dynamique

Labellisée « Petites villes de demain », Retiers ré-invente sa centralité par l’aménagement d’un nouveau quartier en plein cœur de ville, avec le développement durable comme fil conducteur. Habitat,

commerces, services de proximité, offre culturelle, liaisons douces, espaces de nature en ville participent à la vitalité du centre-ville et conforte le rôle moteur de Retiers sur son bassin de vie.

 

Retiers est adhérente au réseau Bruded, réseau d'échange d'expériences de développement local durable entre collectivités.

 

 

> Territoire à énergie positive

Économiser l’énergie, développer les énergies renouvelables, s’adapter au changement climatique, encourager la transition agro-écologique et valoriser les ressources locales, telles sont les ambitions de Roche aux Fées communauté. Le réseau de chaleur bois de Retiers illustre bien la démarche engagée sur le territoire.

Roche aux Fées Communauté, TEPOS, kézako? en savoir  https://www.youtube.com/watch?v=M4dhsR9bFGs

 

 

> Éducation et culture

A Retiers, les jeunes peuvent suivre l’ensemble de leur cursus scolaire en enseignement général, de la maternelle jusqu’au lycée ! Les établissements scolaires se situent à 5 minutes à pied du centre-ville et sont regroupés à proximité des équipements sportifs, du pole jeunesse et du fablab communautaire « La Fabrique ». La médiathèque, l’école d’enseignement artistique Le HangArt sont des lieux culturels essentiels.

 

> Tissu associatif diversifié

Le centre de loisirs, l’espace jeunes et l’espace de vie sociale sont gérés par l’association Crocq’vacances, partenaire essentiel de la ville de Retiers. Dans le domaine de l’Enfance-jeunesse, mais aussi du sport, des loisirs, du patrimoine, de la culture et de la solidarité, les activités associatives sont riches et participent activement à l’animation de la vie sociale.

Dès 868 Retiers était déclarée Paroisse. Le nom de Retiers vient des racines « reg » (le roi) et « ester » (le lieu)  littéralement  «  la demeure du roi ».

Les rois de Bretagne y avaient une de leurs résidences « in  Aula Reester », en lisière des territoires de l’Anjou récemment conquis.

Le roi Salomon de Bretagne venait assez souvent au château de la Motte situé au nord de l’église actuelle et disparu au 16ème siècle.

Par contre la région était habitée dès le néolithique. La voie « des Saulniers » appelée aussi « voie romaine » date de cette période. Elle était jalonnée par une série de mégalithes dont il ne reste plus à Retiers que la « pierre de Richebourg »

Une quarantaine de sites archéologiques sont répertoriés sur la commune. L’existence d’un habitat gaulois fut révélée en 1989 au lieu dit «Les Jeusseries». Cette ferme fut vraisemblablement fondée au cours de la seconde moitié du IVème siècle avant J-C.  

En 1995, une nécropole fut découverte, lors des travaux d’aménagement du parking Miescisko, proche de la mairie. Elle était constituée d’une douzaine de sépultures ; certaines en pleine terre, d’autres faites de coffres de schistes. L’analyse d’une inscription relevée sur l’un des coffres a permis de dater cette nécropole de l’époque mérovingienne entre le VIème et le début du VIIIème siècle. L'une d'elles porte l'inscription Wélita ou Mélita, nom de la première habitante de Retiers dont le sacrophage est exposé au Musée de Bretagne à Rennes.

Au XIème siècle, Retiers passe sous la domination des seigneurs de Coësmes. A la fin du XIIème sous celle de la famille du Hallay lors du mariage de Catherine de Coësmes avec Guillaume du Hallay. Le dernier seigneur de Retiers, Emmanuel Agathe du Hallay, survécut à la révolution mais fut dépossédé de ses biens : le  manoir de la Borderie. Une autre famille de nobles marqua Retiers : les Martin de la Bigotière dont deux membres furent guillotinés pour avoir participé à la chouannerie et aux guerres de Vendée.

Pendant la révolution la commune, sous la forte personnalité de l’Abbé Lancelot se positionne du côté des républicains, s’opposant de façon parfois violente aux communes voisines contrôlées par les chouans. En reconnaissance de ses bons offices comme député et curé constitutionnel, Retiers fut nommé chef lieu de canton. 

Pendant les guerres de l’Empire, deux frères se firent remarquer par leur courage et leur détermination aux combats : les colonels Dein.

Joseph LANCELOT :   

Curé de Retiers de 1776 à 1806. Député du clergé aux Etats Généraux il participa  en 1789 à la rédaction des cahiers de doléances. Membre de l’Assemblée Constituante il  prêta serment à la constitution  et eut une très grande influence sur tout le clergé  du secteur. C’est à lui que Retiers doit d’être chef-lieu de canton

 
 
 
 

Olivier et Paul DEIN :

Deux frères nés à Retiers qui s’illustrèrent pendant les guerres d’Empire et que Napoléon éleva au grade de Colonels en remerciement de leurs services

 
 
 
Edouard Mahé

Edouard MAHÉ  :

Né à Rennes en 1905,  il s’installa à Retiers pendant la guerre, dans la propriété de sa mère. Artiste peintre de renommée internationale il a fait don à la commune,  en 1988 d’une cinquantaine de ses toiles exposées au musée en mairie. Peintre de la génération post-fauvisme, à l’immense talent reconnu par les critiques d’art, il joue avec les couleurs. Beaucoup de ses œuvres sont inspirées des paysages qu’il a connus. En 2018, sa nièce Corinne LECOQ a fait don à la Commune de sa propriété Champlaisir.

 

 

Henri MAHÉ :

Peintre, décorateur, il a peint, entre autres, des fresques au Moulin Rouge, à Paris, dans les années 1950. Il a des racines à Retiers, où des esquisses furent composées. Né en 1907, Henri Mahé entre aux Beaux-Arts à Paris en 1924 à l’atelier Ernest Laurent. Il est rejoint par son cousin Édouard, après des études aux Beaux-Arts de Rennes.

 
 

Emile BRIDEL (père et fils) : Industriels qui participèrent au développement de Retiers.  En 1922 Emile Bridel  père s’installa à Retiers et développa une entreprise de diversification du lait : beurre, camembert. Son fils dénommé aussi Emile, reprit le flambeau  en 1950 et  donna à cette entreprise la dimension internationale que nous lui connaissons aujourd’hui

 

 
 

Robert RÉGNIER :

Né le 30 Avril 1925 à Retiers. A 19 ans, il exerçait la profession de sabotier à La-Roe (en Mayenne). Demeurant rue Georges Clémenceau à Retiers, il a été arrêté avec 10 autres résistants, à La Gravelle (Mayenne) par la Gestapo, pour appartenance à un groupe F.T.P.F. de Loiron le 27 juillet 1944. Interné à Laval et Angers, il monte dans le convoi de déportés dit train de langeais parti de Rennes le 4 août au Lion d'Angers en direction de Belfort, puis est transféré de Belfort le 29 août vers le KL Neuengamme. Le 7 avril 1945, il est tué au cours d'un bombardement à Wilhelmshaven (ou Lüneburg)
Le 5 Mai 2013, la municipalité a souhaité lui rendre hommage en dénommant le passage reliant la place Miescisko à la Rue Clémenceau : 'Passage Robert Régnier'

  • Lien fort avec Herdorf en Allemagne

Tout a commencé avec un échange entre Luc LEBASTARD et Peter RADERMACHER de Herdorf.

Une relation amicale s'installe rapidement entre eux et leurs familles respectives. Au terme d'un voyage, Luc est marqué par l'orchestre de Herdorf. Sa mère propose à Peter d'inviter cet orchestre à Retiers. En 1977, Retiers tend la main la première fois à Herdorf en invitant l'orchestre à venir jouer à la kermesse des écoles privées : c'est un franc succès. Pendant plus de 20 ans, des échanges réguliers vont avoir lieu. A ce jour, ils ont un peu plus espacés. Toutefois, plusieurs familles échangent toujours et continuent à se rencontrer.

02 99 43 58 98

  • Jumelage avec la ville de Miescisko en Pologne

Mai 1993, le Conseil Général présidé par Pierre MÉHAIGNERIE a décidé de nouer des relations avec la région de Poznan et a encouragé les communes d'Ille-et-Vilaine à s'engager dans cette voie.

Messieurs ÉGU, ARONDEL et LAUGLÉ se rendent à Miescisko, ville rurale de Pologne, afin de faire connaissance avec Monsieur BANASZYNSKI, Maire et son équipe.

En quelques dates :

Octobre 1993 : accueil d'une délégation polonaise à Retiers pour la première fois.

1994 : inauguration de la foire de Retiers par l'ambassadeur de Pologne accompagné d'une délégation du Conseil Municipal, de musiciens, d'enseignants et d'agriculteurs.

2 Mai 1997 : signature du jumelage à Miescisko avec les élus des 9 communes du canton

28 mars 1998 : signature du jumelage à Retiers devant 600 personnes.

Depuis, tous les 3 ans, des Restériens se rendent en Pologne et également, tous les 3 ans, ils viennent à Retiers.

Président de l'association Miescisko Pologne : Alfred GERARD

 02 99 43 52 60